Politique de Vie Privée
- La société SIRAC située 14-30 rue de Mantes à Colombes et qui est inscrite à au RCS Nanterre FR20320016033, (ci-après dénommée « SIRAC») collecte et traite, à l’occasion de ses activités, des données à caractère personnel, c’est-à-dire des informations concernant des personnes physiques identifiées ou identifiables, et ce conformément aux règlementations applicables en la matière, en particulier le Règlement Général européen sur la Protection des Données n° 2016/679 du 27 avril 2016 (RGPD).
Cette politique vie privée vise à expliquer pourquoi et comment SIRAC collecte ces données, comment elle les protège et combien de temps ces informations sont conservées, ainsi que les droits dont bénéficient les personnes concernées.
1. Pourquoi SIRAC traite-t-elle ces données ?
SIRAC collecte et traite ces données, sous forme électronique ou non, pour diverses finalités selon les cas de figure concernés. Ainsi, le traitement de ces données peut-il s’inscrire dans le cadre de services prestés pour compte d’autrui, par exemple des villes et des communes, ou au contraire dans le cadre de ses propres activités, par exemple la vente et/ou l’installation d’horodateurs.
Dans les cas de figure relevés ci-dessous, SIRAC intervient normalement comme « responsable du traitement » au sens du RGPD, c’est-à-dire que c’est elle qui, seule ou conjointement, détermine les finalités et les moyens du traitement des données concernées. Cela n’exclut pas que, dans certains cas où elle collecte et traite des données à caractère personnel, SIRAC agisse alors comme un « sous-traitant », c’est-à-dire sur base des instructions de son client (personne privée ou autorité publique) et c’est ce dernier qui agit alors comme un responsable du traitement au sens du RGPD. Dans ce dernier cas, c’est à lui qu’il appartient en principe de fournir l’information nécessaire aux personnes concernées, et non SIRAC.
2. De quelles finalités et catégories de données est-il question ?
(a) Gestion du stationnement
SIRAC assure la gestion et/ou le contrôle (en voirie ou ailleurs) des places réglementées et/ou des cartes/disques de stationnement, et ce par le biais d’agents de contrôle, de véhicules scanneurs et/ou d’autres moyens disponibles en fonction des lieux concernés (à l’instar de caméras de surveillance situées dans des parkings). Cette gestion du stationnement vise à assurer une meilleure rotation des véhicules ainsi qu’une perception correcte et performante des montants dus.
Les opérations associées à ce traitement de données à caractère personnel sont multiples puisqu’il s’agit non seulement de collecter des données lorsque la personne concernée décide d’occuper une place réglementée (par exemple lors de l’introduction de sa plaque d’immatriculation dans l’horodateur correspondant) mais également d’en faire un usage au sens large lorsqu’il s’agit de contrôler le respect du temps imparti ou la validité d’une carte de stationnement (par exemple en consultant la base de données applicable), voire même de les transmettre à des personnes tierces (à l’instar d’huissiers de justice et/ou d’avocats) pour assurer le recouvrement (amiable ou judiciaire) des montants dus après rappel, et/ou déférer à la requête des autorités publiques (par exemple lorsque les services de police demandent l’accès à des images de surveillance).
Plusieurs bases juridiques peuvent justifier ces opérations selon les cas de figure concernés. Ainsi, ces opérations peuvent-elles êt nécessaires au respect d’une obligation légale à laquelle SIRAC est soumise ou à l’exécution d’une mission d’intérêt public, à l’instar d’une politique régionale et/ou d’un règlement communal de stationnement, voire à l’exécution d’un contrat auquel la personne concernée est partie, à l’instar de l’utilisation d’un parking privé accessible au public, ou encore sur base d’intérêts légitimes, à l’instar de l’utilisation de caméras de surveillance pour sécuriser certains bâtiments.
Les catégories de données traitées peuvent également varier selon les cas concernés. Toutefois, en substance, il s’agit de tout ou partie des catégories suivantes :
- Données d’identification, telles que les plaques d’immatriculation, les noms et prénoms, les adresses électroniques et postales et les numéros de téléphone,
- Détails personnels, comme la date de naissance, la langue, la nationalité, le genre, l’état civil,
- Images et enregistrement audio-visuels, via par exemple les caméras de surveillance et les caméras de reconnaissance de plaque d’immatriculation, ainsi que les photos de constatation prises par les agents de contrôle,
- Données de localisation, par exemple pour situer où se trouvait le véhicule stationné à un certain moment,
- Données financières, telles que des informations liées aux modalités de paiement et des numéros de compte bancaire IBAN,
- Attestations de tiers, à l’instar d’un médecin ou d’un employeur,
- Données reçues par l’entremise de diverses sources, à l’instar de sociétés de leasing, d’employeurs ou de la Direction pour l’Immatriculation des Véhicules (DIV), et ce notamment sur base des délibérations n° 13/2016 et n° 34/2016 du Comité sectoriel pour l’Autorité fédérale,
- Données relatives à la gestion du contentieux éventuel.
- Données d’identification, telles que les noms et prénoms, les adresses électroniques et postales et les numéros de téléphone,
- Détails personnels, comme la date de naissance, la langue, la nationalité, le genre, l’état civil,
- Images et enregistrement audio-visuels, via par exemple les caméras de surveillance des bâtiments de RAUWERS,
- Données de connexion, à l’instar de cookies ou de technologies similaires,
- Données financières, telles que des informations liées aux modalités de paiement et des numéros de compte bancaire IBAN,
- Attestations de tiers, à l’instar d’un médecin ou d’un employeur,
- Données relatives à la gestion du contentieux éventuel.
3. D’où proviennent ces données ?
Quand une personne contacte SIRAC, les données initiales proviennent en général de cette personne. Dans le cadre des relations avec SIRAC, des informations complémentaires peuvent être transmises, par exemple pour l’établissement d’un devis, d’un contrat ou d’une facture. Si la personne concernée ne fournit pas à SIRAC les informations requises par la loi ou le contrat, la personne concernée peut perdre des avantages ou SIRAC peut décider de ne pas conclure le contrat, voire de le résilier. Par exemple, si une personne ne souhaite pas partager avec SIRAC son adresse e-mail, il/elle ne recevra aucune des lettres d’informations électroniques de SIRAC.
SIRAC peut également recevoir d’autres personnes des données concernant les personnes dont les données sont traitées, par exemple l’administration fiscale et les villes et communes avec lesquelles cette personne communique par e-mail ou par d’autres systèmes.
4. Qui a accès à ces données ?
Pour les finalités précitées, les données à caractère personnel peuvent être divulguées à, et même éventuellement traitées par :
- Les personnes concernées elles-mêmes,
- Le personnel de SIRAC qui a un besoin de connaître les données en question,
- Les individus et entités légales qui ont des contacts directs avec SIRAC et qui ont également besoin de les connaître, à l’instar de sociétés liées, ainsi qu’en cas d’éventuelle reprise ou expansion de nos activités,
- Les autorités publiques conformément aux réglementations applicables, comme l’administration fiscale et les services de police, des villes et communes, etc.,
- Les prestataires de services, tels que des prestataires de services informatiques ou techniques et des bureaux de marketing, qui ont, eux aussi, besoin de connaître ces données, et
- Les autres conseillers professionnels de SIRAC lorsqu’ils ont également besoin de connaître ces données, par exemple les huissiers et les avocats en cas de recouvrement des montants dus.
Lorsqu’il s’agit de sous-traitants au sens du RGPD, SIRAC veille à ce qu’ils ne disposent que des données qui sont nécessaires à l’exercice de leurs tâches et qu’ils s’engagent à traiter ces données de manière appropriée.
Dans certains cas, il est possible que SIRAC intervienne conjointement avec un partenaire dans le traitement de données à caractère personnel. En ce cas, SIRAC et le partenaire concerné auront défini entre eux leurs obligations respectives aux fins d’assurer le respect des exigences du RGPD et les personnes concernées disposeront en principe d’un point de contact pour contacter l’un ou l’autre, étant entendu que ces personnes peuvent exercer leurs droits à l’égard de et contre chacun d’entre eux.